Salver Jezuz, deskit deom(p) bezañ brokus,
D’Ho servijañ (e)vel ma tere ouzhoc’h,
Ha da rei(ñ) hep kontañ,
Da stourm dizaon rak an taolioù gloaz,
Da labourat kuit a glask an diskuizh,
D’ober bec’h bras hep gortoz gounit ebet netra all,
Nemet gouzout emaom(p) oc’h ober ho Polontez Santel.
Seigneur Jésus, apprenez-nous à être généreux
A Vous servir comme Vous le méritez,
A donner sans compter,
A combattre sans soucis des blessures,
A travailler sans chercher le repos,
A nous dépenser sans attendre d’autre récompense,
Que de savoir que nous faisons votre Sainte Volonté.
Le père Sevin était attaché à l’appellation « Seigneur Jésus », Seigneur au sens de chef (toutes les prières scoutes commencent ainsi , ou bien « coeur de Jésus notre chef notre frère ») ; en breton on met souvent « salver Jesus » à la place de « Domine Jesu » et « hon salver » à la place de « Dominum nostrum » (réaction au jansénisme ?) mais là il me semble qu’il faut vraiment traduire « Aotrou Jesus » comme on mettrait « Aotrou Doue », c’est important pour les scouts.
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